Travaille et vit à Paris.

Le travail d’Olivier Ratsi pose la réalité objective, le temps, l’espace et la matière comme autant de notions d’information intangibles.

Se basant sur l’expérience de la réalité et de ses représentations ainsi que sur la perception de l’espace, il conçoit des œuvres qui amènent le spectateur à se questionner sur sa propre interprétation du réel.

Durant le processus de création, Olivier Ratsi met en œuvre des dispositifs de déconstruction des repères spatio-temporels en s’appuyant sur la technique de l’anamorphose qu’il développe au cours de ses recherches.

Opérant une cassure dans la réalité objective, ses créations ne se veulent pas tant un déclencheur d’émotions ou un moyen de perturber les sens qu’un catalyseur de points de vues, de références culturelles et psychologiques. Ainsi, le spectateur n’est nullement privé de sa capacité subjective de reconstruction/reconstitution de la réalité et est invité à prendre position afin de vivre l’œuvre en fonction de son propre ressenti.

Son travail a été présenté dans le New York Times Magazine pour lequel il a réalisé un travail de commande, dans des musées et galeries : galerie Denise René et galerie Charlot à Paris, Wood Street Galleries aux États-Unis, galerie Atsuko à Tokyo, galerie Puerta Roja à Hong Kong, galerie Odalys en Espagne, D-Museum et Culture Station Seoul 284 en Corée, National Taiwan Museum of Fine Arts à Taiwan, K11 et OCT Art gallery en Chine,, Center for Contemporary Arts à Glasgow, Musée des Beaux-Arts de Lyon.

Mais aussi dans des festivals d’arts internationaux tels qu’Elektrann Mutek et BIAN au Quebec,, au festival Croisement en Chine, au festival Digital Choc à Tokyo, au Festival TAG au Mexique, au Festival Multiplicidade et Eletronika au Brésil, au festival Mapping en Suisse, au festival Bains Numériques, NEMO et Mirage en France. Olivier Ratsi est co-fondeur et ancien membre du label Antivj.